[podcast] RFI “Vous m’en direz des nouvelles !”

http://www.rfi.fr/emission/20140211-1-fauve-mendelson/

Ce qu’en a dit la presse

Mendelson Triple album – disponible depuis le 6 Mai 2013

Ce qu’en a dit la presse :

« L’intransigeance a son manifeste » Télérama – fff

« Ces coups portés, on ne les oublie pas comme la peau n’oublie pas certaines cicatrices » Magic

« Un triple album noir et épais, phénoménal » Les Inrockuptibles

« Le rock français est debout. Nous aussi » Rif-Raf (Belgique)

« Une créature sonore à nulle autre pareille » Télérama Sortir

« Aussi dense sur le plan musical que sur le plan textuel » Mouvement

« Des thèmes tranchants derrière la voix imperturbable du chanteur » Longueur d’Ondes

« Un univers sombre et troublant » La Vie

« Un electrochoc salutaire » B.Lenoir / TGV Magazine

« Une expérience absolument unique » Politis

« Un vrai moment de charme, envoûtant. Un vrai moment de poésie également » Presto (59)

« Un concert qui restera comme l’un des plus puissants de la saison » Ouest France Brest (29)

« C’est magnifique, c’est poignant, c’est fort » Place Publique (44)

« Jusqu’auboutiste à tout point de vue et néanmoins remarquable » L’Yonne Républicaine (89)

« Un triptyque discographique époustouflant » Le Courrier (CH)

« Totalement unique » Sortir Ici (29)

 « Quelle écriture sublime et terrassante ! » Midi Libre (34)

« C’est devenu rare des chansons qui resistent au temps, des mélodies qui résonnent » 491… (69)

« Se tenir là face à un disque culte. Monstre musical » Froggy’s Delight

« On n’inventera pas de nouveaux superlatifs, ce serait ridicule et un peu indécent » La Blogothèque

 « Mendelson vient de te donner le coup de grâce » ADécouvrirAbsolument

« Mendelson réussit à nouveau à nous détourner, pour des années » Millefeuille

« Des propositions artistiques audacieuses, à contre-courant » Sourdoreille

« Une oeuvre au noir obsédante » K-Fuel

« Ils entrent définitivement dans la légende » Liability webzine

« Une musique réaliste et ultime, d’une poésie percutante » Unidivers

« Fourni et magistral » Muzzart

« Un triple qui repousse viscéralement les frontières de la musique » Chronique Musicale

« Mendelson invente un post rock que lui seul sait jouer » POPnews

 « Mendelson nous montre une nouvelle fois le chemin qui mène à la lumière » Autres Directions

 Boutique en ligne sur icidailleurs.com :

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Chronique chez Forces Parallèles

Chronique du triple album à lire chez Forces Parallèles : http://fp.nightfall.fr/index.php?idchoix=6338

Live report Mendelson au Musée des Abattoirs, Toulouse – 6 novembre 2013 par Versatile-mag

Mendelson au Musée des Abattoirs, Toulouse – 6 novembre 2013

Mendelson_6pf_by_RenaudDeFoville

Radicalité, exigence, intransigeance, tels sont les qualificatifs qui reviennent le plus souvent quand il s’agit de parler du dernier disque de Mendelson, le cinquième du groupe. Un objet inhabituel dans la production courante, un format triple, à l’opposé des habitudes de consommation (musicale, mais pas que) actuelles privilégiant le zapping, l’instantanéité. On n’écoutera ainsi pas Les heures entre deux stations de métro, le morceau dure 54 minutes. Un seul titre affiche moins de cinq minutes au compteur, six sur onze font plus de dix minutes. Voilà pour les statistiques. Musicalement, impossible d’affirmer qu’on se situe dans l’univers du rock plus que dans celui de la chanson française. C’est embêtant de ne pas pouvoir étiqueter, enfin, surtout pour les labels et les marchands, surtout que ce cinquième opus n’a pas de titre, on n’a pas non plus envie de l’appeler éponyme, c’est vilain. Le disque échappe aux références, le petit jeu des comparaisons sera forcément hors de propos. Disons – pour que l’exercice critique ne soit pas tout à fait vain – que depuis sa sortie au printemps dernier, on n’a pas fini de faire le tour de cet album qui ne se donne pas spontanément avec évidence. Sa durée impose une notion d’expérience, avec ce que cela sous entend d’émotions multiples et parfois contradictoires. On voudrait rejeter d’un bloc ce monstre, car on n’arrive pas à le caser dans notre temps disponible, mais on y revient fasciné par son pouvoir quasi hypnotique – sans doute le spoken word de Pascal Bouaziz -. On n’a pas envie d’entendre cette vision de l’homme dans ce qu’il a de plus bas et pathétique, mais on goûte à l’ironie cruelle des textes. On aimerait juger d’une posture d’artiste perché dans l’expérimentation, mais on est aussi surpris par l’étonnante accessibilité globale. In fine, il faut bien avouer que malgré quelques défauts et lourdeurs ici ou là, ce disque impressionne, sans pour autant qu’il nous prenne de haut.

Autant dire qu’on ne sait pas trop ce à quoi s’attendre au concert de Mendelson au musée des Abattoirs de Toulouse, si ce n’est qu’on y sera assis, car la chose se déroule dans l’auditorium et que c’est gratuit – le rendez-vous est programmé dans le cadre des Jeudis des Abattoirs -. Le groupe débute son set comme sur l’album avec La force quotidienne du mal. Les musiciens sont placés dans l’obscurité la plus totale, des images répétitives sont projetées sur chacun comme seule source de lumière. Le premier titre permet de mesurer l’excellente tenue du son de scène, la voix est parfaitement mixée et les différentes textures sonores complexes de l’album idéalement retranscrites en live. Des beats syncopés rythment le morceau, le traversent comme on tailladerait la chair avant que des notes de clavier le conduisent vers une conclusion plus apaisée, de toute beauté. Pascal Bouaziz – totalement lunaire, qui joue à chercher ses mots – détend une atmosphère qui pourrait être glaciale en balançant entre chaque titre des traits d’humour bienvenus. Il rigole de venir porter la culture à Toulouse – c’est sûr qu’on est loin du Tomber la chemise de Zebda -, se réjouit de la disparition de Lou Reed dont il regrette la dernière collaboration avec Metallica. Après Ville nouvelle, il convoque sur scène l’autochtone Michel Cloup pour compléter le diptyque avec Nouvelle Ville. Le Toulousain, qui lit les paroles sur son I Phone fait progressivement monter la tension et emporte l’adhésion en régional de l’étape. Ce soir, Mendelson – qui jouera essentiellement les titres de son triple album – rendra caduc tout commentaire sur les notions d’exigence, d’intransigeance ou de radicalités citées plus tôt, qui n’ont de valeur que pour ceux qui en sont dépourvu. Il a amené sans effort les spectateurs dans son univers, sans une once d’ennui ni prendre la pause, pendant un set d’une heure vingt dont on aurait juste aimé qu’il se prolonge davantage.

Note: ★★★★½

http://www.versatile-mag.fr/2013/11/mendelson-au-musee-des-abattoirs-toulouse-6-novembre-2013/

LE PETIT BULLETIN de Grenoble

Interview “Parlhot » (2)

http://www.parlhot.com/itw-rock/mendelson-mendelson-2/

Interview “muzzart »

http://www.muzzart.fr/lezine/itw/questions-a-pascal-bouaziz-aka-mendelson-recent-auteur-dun-f.html

Interview “Parlhot » (1)

http://www.parlhot.com/itw-rock/mendelson-mendelson-1/

« Triple album de Mendelson : Extrême autopsie » par Unidivers

Dans le documentaire Moindre Poésie réalisé en 2008 par Guillaume Morel, Pascal Bouaziz – tête chercheuse et bras armé du groupe Mendelson – déclarait qu’il fallait pour dire le réel des « mots moins poésie ». Il souhaite « réinventer une nouvelle manière de dire les choses »… De fait, l’audacieux cinquième et triple album de Mendelson a tellement de mots… Présentation.

http://www.unidivers.fr/triple-album-mendelson-pascal-bouaziz/

Chronique du Triple Album par “Inactuelles »

http://inactuelles.over-blog.com/mendelson-triple-album