Paru dans la chouette revue MOUVEMENT il y a quelques temps,
un très bel article de
David Sanson
sur la Chanson ADIEU de BRUIT NOIR :
« Une expérience limite qui prouve qu’un album est fait pour être écouté jusqu’au bout. »
Un des territoires les plus singuliers de la chanson hexagonale
« Un des territoires les plus singuliers de la chanson hexagonale. » (Magazine FrancoFans)
Vraiment ?
« Un opus à écouter – tel un album de Benjamin Biolay – de préférence la nuit tombante, au coin du feu. »
Tel un album de Benjamin Biolay ?
Vraiment ?
LE NOUVEAU RENDEZ-VOUS
Disponible pour mariages, réceptions, divorces, cocktails à base de convivialité, et barbecues sous la pluie :
Pascal Bouaziz – L’Etre Humain & La Trace (2016 – 06 – 16 Le Nouveau Rendez – Vous, France Inter)
Comme parfois, c’est court mais c’est bon
Comme parfois, c’est court mais c’est bon :
http://gonzai.com/passages-en-force-pour-pascal-bouaziz/
BOUAZIZ / HAIKUS chez Radio-France.
Vendredi 17 juin, à 23h, avec une chouette interview de Pascal Bouaziz chez Manou Farine sur France Culture pour la très belle émission Poésie et ainsi de suite…
http://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite
Et demain soir jeudi 16 juin, vers 21h, chez Laurent Goumarre, invité musical du Nouveau rendez-vous sur France Inter.
Un article avec de la violence dedans
Un article avec de la violence dedans : Pascal plaide non-coupable.
Belgique suite…
Avec la fin très fâcheuse de l’édition française de Rif Raf : http://rifraf.be/fr/issue-221-juin-2016/
Un bel article en page 16 pour HAIKUS.
Et souvenir de 2008 et de 2013 en photos, l’honneur de la couverture pour MENDELSON, retrouvé dans le tiroir ce matin.
C’est pas tellement parce que c’est très bien écrit…
C’est pas tellement parce que c’est très bien écrit et que c’est très flatteur que j’aime beaucoup cet article (mais c’est certainement pour une sorte de très bonne raison entre les deux) !
Beau mouvement aussi entre la défiance de la 1ere écoute et ce que la deuxième a changé…
L’art du haïku, chez Bouaziz, c’est de saisir la beauté où l’on ne sait pas ou plus la voir, pour la sertir dans une forme et, d’une certaine manière, en faire son viatique, une raison de vivre encore, malgré toute la laideur du monde, l’horreur suscitée par l’espèce humaine et ce qu’on appelle « civilisation ».
http://inactuelles.over-blog.com/2016/06/pascal-bouaziz-haikus.html