Monthly Archives: juin 2016
Comme à la Radio
Et ce soir encore ce sera « Comme à la Radio », sur France Culture, 23h. Pascal Bouaziz avec deux titres en live total solo : « Miracle » et « Les choses ».
« Après Mendelson, après Bruit Noir, l’auteur et musicien Pascal Bouziz tombe le masque et signe pour la première fois en son nom Haïkus, 13 titres miniatures et douillets essorés à l’os, avec piano minimal, guitare guère plus et une voix qui se prend à chanter, alors que dans le même temps paraît un livre frère, Passages… »
http://www.franceculture.fr/…/poesie-et-a…/poesie-et-masques
Comme parfois, c’est court mais c’est bon
Comme parfois, c’est court mais c’est bon :
http://gonzai.com/passages-en-force-pour-pascal-bouaziz/
BOUAZIZ / HAIKUS chez Radio-France.
Vendredi 17 juin, à 23h, avec une chouette interview de Pascal Bouaziz chez Manou Farine sur France Culture pour la très belle émission Poésie et ainsi de suite…
http://www.franceculture.fr/emissions/poesie-et-ainsi-de-suite
Et demain soir jeudi 16 juin, vers 21h, chez Laurent Goumarre, invité musical du Nouveau rendez-vous sur France Inter.
Un article avec de la violence dedans
Un article avec de la violence dedans : Pascal plaide non-coupable.
Belgique suite…
Avec la fin très fâcheuse de l’édition française de Rif Raf : http://rifraf.be/fr/issue-221-juin-2016/
Un bel article en page 16 pour HAIKUS.
Et souvenir de 2008 et de 2013 en photos, l’honneur de la couverture pour MENDELSON, retrouvé dans le tiroir ce matin.
Belgique : Pays magique.
Belgique : Pays magique.
Grosse interview de « Monsieur Bouaziz » dans le Télérama de là-bas.
Déménagement immédiat !
http://focus.levif.be/…/pascal-b…/article-normal-509461.html
C’est pas tellement parce que c’est très bien écrit…
C’est pas tellement parce que c’est très bien écrit et que c’est très flatteur que j’aime beaucoup cet article (mais c’est certainement pour une sorte de très bonne raison entre les deux) !
Beau mouvement aussi entre la défiance de la 1ere écoute et ce que la deuxième a changé…
L’art du haïku, chez Bouaziz, c’est de saisir la beauté où l’on ne sait pas ou plus la voir, pour la sertir dans une forme et, d’une certaine manière, en faire son viatique, une raison de vivre encore, malgré toute la laideur du monde, l’horreur suscitée par l’espèce humaine et ce qu’on appelle « civilisation ».
http://inactuelles.over-blog.com/2016/06/pascal-bouaziz-haikus.html