D’où viens-tu ?
Je ne sais pas.
Où et comment vis-tu ?
A Paris.
Où vas-tu ?
Je ne sais pas.
Où souhaites-tu être enterré ?
Je ne souhaite toujours pas mourir pour l’instant.
Comment t’est venu l’envie d’écrire des chansons ? Et d’enregistrer ?
Probablement de la fréquentation intense de disques enregistrés à base de chansons dedans.
Une rencontre qui a influencée ce que tu es maintenant ?
Olivier Féjoz. La personne avec qui j’ai commencé à faire de la musique. Et donc Mendelson.
Ton panthéon personnel ?
Morrissey. Mais sans Morrissey.
Un artiste francophone que tu serais fier de faire écouter à un étranger ?
Lou, Nino Ferrer, David Mac Neil, Brigitte Fontaine, Philippe Katerine, Michel Cloup, Diabologum, Perio, Léo Ferré, Colette Magny, Stan Cuesta, Eric Tandy, Programme, Vincent Malone, Les Dogs, Les Olivensteins, Jean-Louis Murat, Gérard Manset, Bobby Lapointe, Areski, NLF 3, Oui Oui, Bertrand Burgalat, Dominique A., Sylvain Vanot, Kat Onoma, Rien, Gontard!, Les Frêres Nubuck, NTM, Herman Dune, Shurik’n, Costes, Revok, Ricky Hollywood…
Un auteur non-francophone dont l’écriture t’inspire ?
Kenshin Semitaku.
La chanson en français qui fait bouger les lignes, c’est quoi ?
Je ne sais pas.
En vrai, tu as peur de quoi ?
De devenir mauvais sans m’en apercevoir.